En plein essor, le groupe vendéen Atlantic franchit une nouvelle étape dans l’innovation technologique en engageant un investissement ambitieux de 75 millions d’euros pour établir cinq nouveaux centres de recherche et développement. Répartis sur des sites emblématiques tels que La Roche-sur-Yon et Billy-Berclau, ces centres joueront un rôle clé dans l’accélération de la transition bas carbone des bâtiments. Cette initiative s’accompagne d’un remarquable effort de recrutement, avec 500 nouveaux salariés prévus pour renforcer cette dynamique. Atlantic confirme ainsi son engagement à développer son chiffre d’affaires dans le secteur de la ventilation, tout en contribuant à la modernisation industrielle en France.
Le groupe vendéen Atlantic prend une initiative audacieuse en allouant 75 millions d’euros à la recherche et développement, dans le but de propulser la transition bas carbone des bâtiments. Cette somme considérable est destinée à créer cinq centres R&D sur divers sites industriels, notamment à La Roche-sur-Yon, siège du groupe, Billy-Berclau dans le Nord, ainsi qu’à Boz et Meyzieu en région Auvergne. En parallèle de ce projet, Atlantic envisage le recrutement de 500 salariés supplémentaires pour renforcer leurs équipes, portant une attention particulière à l’expansion de leur activité de Ventilation qui a généré un chiffre d’affaires de 130 millions d’euros l’année passée.
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Toggleatlantic investit dans la recherche et développement
En septembre 2024, le groupe vendéen Atlantic a marqué un tournant décisif dans sa stratégie d’innovation en annonçant un investissement de 75 millions d’euros destiné à la création de cinq nouveaux centres de recherche et développement. Ces centres, répartis sur divers sites industriels, tels que La Roche-sur-Yon et Billy-Berclau, visent à accélérer la transition vers un modèle bas carbone, contribuant largement à la modernisation et la durabilité des infrastructures. L’initiative s’inscrit dans le contexte global de réduction de l’empreinte carbone des bâtiments, conformément aux directives actuelles en matière d’écologie.
À travers cet ambitieux projet, Atlantic démontre sa volonté de renforcer son rôle de leader dans le secteur. Implantés aux côtés des unités industrielles à Boz et Meyzieu, ces centres accueilleront de nombreux experts et chercheurs. Le but est de concentrer les efforts sur l’amélioration continue des produits et solutions énergétiques proposées par l’entreprise. Cet engagement témoigne également d’une volonté d’investir dans l’avenir tout en soutenant le développement économique des régions concernées.
impact économique et social de l’investissement
L’investissement de 75 M€ dans ces centres R&D ne se contente pas d’encourager l’innovation. Il s’accompagne aussi d’une dimension sociale forte avec le recrutement de auprès de 500 nouveaux salariés pour renforcer les équipes de recherche. Cette dynamique crée un véritable engouement économique local. À titre d’illustration, dans la région de la Loire, cela comprend le soutien significatif à d’autres industries connexes, y compris celle de l’électronique. C’est un investissement porteur pour plusieurs secteurs régionaux.
expansion et perspectives d’avenir
La stratégie d’Atlantic ne s’arrête pas aux investissements actuels. L’élargissement de l’usine à La Roche-sur-Yon, axée sur la production de cartes électroniques, illustre l’ambition permanente de diversifier et d’étendre ses capacités de production. Cette initiative s’accompagne d’un plan de 1 600 recrutements supplémentaires prévu pour les années à venir, illustrant une vision à long terme vis-à-vis du développement soutenu et durable. La création de l’usine à Billy-Berclau est d’ailleurs un signe fort de l’engagement industriel du groupe. Le Parc d’activités Artois Flandres n’avait pas accueilli une telle implantation depuis plus d’une décennie, soulignant l’impact catalyseur de la présence d’Atlantic. Ce projet promet de dynamiser encore davantage les économies locales.
Consultez les ressources sur les entreprises électroniques en Pays de la Loire ou informez-vous sur l’impact de l’investissement de 75 M€ d’Atlantic.